"Le journal d'un paria" est un livre écrit par Ivan Rioufol, publié en 2021 aux éditions de L'Artilleur. Le livre est un recueil de textes dans lequel l'auteur aborde des sujets tels que la liberté d'expression, l'islamisme, la laïcité, l'immigration, l'identité française et la covid-19.
Ivan Rioufol est un journaliste, écrivain et éditorialiste français, connu pour ses positions controversées et anticonformistes. Ivan Rioufol se considère comme un paria de la société française en raison de ses opinions politiques.
L'auteur exprime ses inquiétudes sur l'évolution de la société française et en particulier à la montée de l'islamisme, la remise en cause de la laïcité, l'infantilisation de la société et les attaques aux libertés individuelles par une certaine élite plus prompte à s'occuper de leur carrière que de la France. L'auteur aborde également la montée du populisme et le fossé qui se creuse entre des Français et la classe dirigeante politique.
Le livre permet de lire une partie des chroniques que l'auteur tient dans le quotidien du Figaro depuis 2002. Ce sont les années 2020 et 2021 qui sont offertes à la lecture et dans l'ordre chronologique.
Le journal d'un paria
J'avoue que lire a posteriori ces années folles de la covid-19 permet de se rendre compte à tête reposée que nous avons eu affaire à des manipulateurs et des menteurs. Je n'écris volontairement pas des amateurs parce que j'ai un gros soupçon de mise en place par étape d'une doctrine d'ordre mondial en occident. Pendant que j'écris, il y a des tentatives de plus en plus visibles de destructions de libertés sous couvert de bienfaisance (passe carbone, changement climatique, médias censurés, monnaie numérique, papiers d'identités numériques, contrôle technique sur les propriétés, etc.) par des requins en généralement jeunes qui prennent le pouvoir nationalement un peu partout en occident (Trudeau, Sunak, Ardern, Macron, Meloni, etc.). Vous remarquerez en fouillant sur internet, que les organisations supranationales sont gérées par des personnes bien plus âgées, pourquoi ?
En conclusion, "Le journal d'un paria" est un livre engagé qui aborde des sujets sensibles, qui propose une vision conservatrice et critique de la société française contemporaine. Il offre un point de vue différent sur les enjeux liés à la laïcité, à l'islamisme, à l'identité nationale et aux libertés. Le livre est un témoignage personnel, un cri du cœur sur les défis auxquels la France est confrontée de nos jours.
À mon petit niveau, j'ai cette sensation d'être de plus en plus en marge d'une société occidentale endormie dans son confort et qui ferme les yeux tant que le toit est toujours au-dessus de la tête ainsi que les repas sur la table malgré que nos libertés chéries obtenues par nos ainés, sont attaquées par une oligarchie mondiale arrogante.
C'est parti pour un bilan des vacances à Fuerteventura et plus exactement à Costa Calma qui se situe dans le sud-est de l'île. Le séjour en location a duré une semaine et la voiture de location a permis de visiter l'île du nord au sud. J'ai effectué 1035 kilomètres avec cette voiture de location. Les routes de l'île sont en bon état et l'autoroute est gratuite. Il est parfois possible de rencontrer des routes non goudronnées pour accéder à certains lieux.
LA MOITIÉ SUD DE L'ÎLE
Direction la pointe sud de l'île. La route n'est plus goudronnée pendant 19 kilomètres après la ville de Morro Jable. Cette route permet de rejoindre la Playa de Cofete et Puerto de la Cruz. Cette zone est un parc naturel avec un paysage montagneux et très aride. Vous avez l'impression d'être dans un no man's land, il y a quelques habitations et quelques chèvres en liberté. J'ai croisé beaucoup de voitures pour un dimanche et en début d'après-midi. L'idéal est d'avoir un moyen de locomotion surélevé parce que la route est défoncée à certains endroits avec des petits cailloux.
Morro Jable : Petite ville balnéaire agréable avec une grande plage de sable blond sans toutes ces franchises internationales. Ensuite, il y a la ville de Solana Matorral avec son phare Faro del Matorral et sa très grande plage de sable blond qui se situe à quelques kilomètres de Morro Jable. L'ambiance y est totalement différente par rapport à Morro Jable. C'est une grande avenue avec d'un côté sa promenade, sa plage et de l'autre côté, hôtels, restaurants et commerces.
Playa de Butihondo : On y retrouve beaucoup d’hôtels et toujours ces grandes plages de sable blond.
La Pared : Petit village qui se situe au sud-ouest de Fuerteventura. Ce village est loin du tourisme de masse, des bars bruyants et commerces franchisés internationaux, mais le village a son petit charme. Mon entrée dans le village s'est faite par un chemin non goudronné, est-ce que c'est comme ça depuis toujours où est-ce que c'était les travaux, je ne sais pas ?
Au bout du village se trouve la plage playa de la pared. Une descente aménagée permet d'accéder à la plage de sable noir et le point de vue est vraiment magnifique par son aspect très sauvage. Des camping-cars et des surfeurs étaient présents bien que l'on était au mois de janvier.
Le Mirador astronómico sicasumbre : J'ai découvert ce mirador qui se situe entre la ville La Pared et Pájara dans le parc naturel de Jandia par hasard. Le point de vue est splendide avec cette différence de couleur entre le bleu de l'océan et la couleur terre de ces montagnes basses arides (Morro). Un chemin est aménagé pour accéder au mirador qui se trouve en hauteur. Il y avait énormément de vent au sommet et j'étais content d'avoir un pantalon et un coupe-vent.
Mirador astronómico sicasumbre
Ajuy : Petit village à l'ouest de l'île loin du tourisme de masse avec sa petite plage de sable noir. Un sentier est aménagé le long des rochers qui longent l'océan pour permettre de voir les grottes (cuevas de Ajuy).
Pájara : Commune qui se trouve à peu près au centre de l'île. On y trouve un tout petit centre-ville joliment aménagé avec des bâtiments d'une architecture agréable et la jolie église Iglesia de Nuestra Señora de Regla. Un petit parking gratuit se trouve à côté de l'église, mais il était complet même au mois de janvier.
Gran Tarajal : Ville sans grand intérêt architectural. On y trouve une belle plage de sable blond avec sa promenade qui amène au port. Petite ville balnéaire agréable et non détruite par le tourisme de masse.
Pozo Negro : Tout petit village avec de jolies petites maisons bien entretenues sur le bord de la plage de galets. Encore un endroit préservé du tourisme de masse.
Costa Calma : C’est une petite station balnéaire avec une grande plage de sable blond et des hôtels avec vue sur mer qui séparent la plage de la petite rue commerçante. Une grande bande de sable se dégage à marée basse et de nombreuses personnes y font leur marche.
Vidéos de Fuerteventura
LA MOITIÉ NORD L’ÎLE
Betancuria : Visite incontournable de Fuerteventura. La ville a été fondée en 1404 par l’explorateur normand Jean de Bethencourt. Le centre historique est petit, mais vraiment beau avec sa place Santa Maria où se trouve la belle église Iglesia Matriz de la Concepción qui ressemble à celle de la ville de Pájara. L'accès à cette ville doit être extrêmement compliqué lors des pointes estivales. Le parking est payant, mais il est possible de trouver quelques places gratuites proches du centre historique.
Betancuria
Le Mirador Guize y Ayose : Ce mirador offre une belle vue sur ces paysages toujours aussi sauvages, petites montagnes aux sommets arrondis. Il y a deux énormes œuvres d'art représentant deux conquérants qui dominent ce mirador. Encore un endroit avec beaucoup de vent.
Puertito de Los Molinos : Si vous voulez vivre l'expression "au bout du monde", Los Molinos s'en approche. Tout petit village de pêcheur avec sa petite plage de galets. On y retrouve quelques bars sans chichi et loin du délire touristique, mais malgré tout, j'ai pu voir de nombreux touristes pour un mois de janvier. La sérénité à l’état brut !
Puerto del Rosario : Je ne m'attendais pas à si peu d'intérêt de cette ancienne capitale de Fuerteventura à moins que j’aie raté les lieux à visiter. La ville se résume à une voie piétonne sans grand intérêt hormis la petite église. Vous pouvez voir la belle et petite plage de sable blond Playa Chica ainsi que le port en arrivant au bout de cette rue piétonne. Visite décevante et j'ai même oublié de prendre des photos du centre-ville.
Costa de Antigua et Caleta de Fuste : Stations balnéaires de tourisme de masse. C'est le genre d'endroit où vous avez l'impression qu'il y a plus d'hôtels et de commerces que d'habitations. Il y a une plage de sable blond à Caleta de Fuste. Par contre, il y a une agréable promenade aménagée entre ces deux stations balnéaires. En cas de vent, on peut y voir de magnifiques rouleaux s'écraser sur les rochers.
Promenade entre Costa de Antigua et Caleta de Fuste
Salinas del Carmen : En arrivant, vous tombez sur le musée du sel et ensuite un tout petit village avec ses réservoirs à sel naturel et sa petite plage de sable blond. Ce village est à proximité de Caleta de Fuste, mais il n'a pas subi le même sort du tourisme de masse pour le moment. Endroit typique et agréable bien que ce soit très simple.
La Oliva : Jolie commune avec ses bâtiments blancs et ajout de pierres volcaniques. La ville est très bien entretenue. On y trouve la jolie église Iglesia de Nuestra Señora de la Candelaria ainsi que le Centro de arte Canario, un Mercado de las tradiciones et la Casa de los Coroneles qui était fermée pour rénovation.
El Cotillo : Une surprise cette ville. Les guides vous annoncent une ville authentique. Je m'attendais à voir une architecture comme j'ai pu découvrir à Betancuria. Vous y voyez surtout des maisons blanches, mais rien de plus. C’est une ville touristique qui semble calme avec beaucoup de surfeurs. Des complexes hôteliers se construisent autour de cette ville. Le bord de mer est très agréable avec ses roches volcaniques qui contrastent avec le sable blond. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de véhicules bien que j'y sois allé au mois de janvier. J'imagine que pendant la période très touristique, cette ville doit être bondée de touristes.
Corralejo : La grosse station balnéaire par excellence. Des bars, des restaurants, des commerces, des dos d'âne, des touristes et des complexes hôteliers dans tous les sens. Bref, un endroit pour le tourisme de masse, tout ce que je déteste. Par contre, le bord de mer qui part du port jusqu'à la plage de sable blond nommée Waikiki est agréable. La zone piétonne qui permet d'accéder à la plage Waikiki est sans intérêt hormis si vous aimez les bars, restaurants et les commerces. Vous avez une belle vue de l'île de Lobos du port de Corralejo.
Corralejo, plage de Waikiki
BILAN DU SÉJOUR
Je n'ai pas vu beaucoup de grosses stations balnéaires, mais plutôt des paysages très sauvages et des villes ou villages préservés du tourisme de masse. C'est assez surprenant pour l'Espagne et les îles Canaries. Dans toutes mes visites, la plus grosse station balnéaire que j'ai rencontrée est Corralejo puis Caleta de Fuste qui est de taille plus modeste.
La température a oscillé entre 16°C le matin et 22°C l'après-midi avec du soleil, mais j'ai eu beaucoup de vent sur toute l'île avec une sensation de fraîcheur. Il est préférable de prévoir des vêtements légers et coupe-vent, mais les températures étaient agréables pour un mois de janvier.
Les paysages sont identiques sur toute l'île. Ce sont de basses montagnes avec des sommets arrondis (morro) et désertiques. C'est triste à écrire parce que c'est quand même très joli comme paysage, mais au bout d'un moment cela devient lassant. Les seuls points verts dans ces paysages désertiques sont les palmiers et les végétations basses typiques des endroits arides.
Il y a énormément d'écureuils sur l'île et ils ne sont pas farouches. Des panneaux indiquent qu'il est interdit de les nourrir.
J’ai eu cette sensation par moment d’être au Mexique ou à Cuba par son architecture ou ambiance visuelle.
Avant toute chose, je précise que cet article n'est pas sponsorisé, c'est juste l'expression et un partage d'une utilisation des logiciels de photographie qui me semblent vraiment indispensables même pour le novice que je suis dans le domaine.
J'ai utilisé le logiciel Lightroom pendant plusieurs années comme beaucoup de photographes amateurs, mais leur politique de prix a changé et cela ne me convenait plus. J'ai donc testé les logiciels rawtherapee et darktable comme j'ai pu l'écrire dans un précédent article. J'ai accroché et compris assez vite le fonctionnement de base de darktable même si je ne l'utilise pas à 100 % de ses capacités. Je précise que darktable est un logiciel de retouche photo et gratuit.
J'utilise ce logiciel sous Windows essentiellement pour traiter les images brutes .ARW et .ORF. Ce logiciel permet un traitement des photos assez poussé comme je l'ai précisé plus haut, mais la personne qui est devant ce logiciel comme moi n'est pas un professionnel et parfois galère pour tenter de rattraper une photo.
Image by Ralf Kunze
Vous savez la photo que vous aimez et que vous ne voulez pas supprimer, mais que vous avez ratée parce que vous êtes trompés dans les réglages de votre appareil photo par exemple. Je suis sûr que ça vous parle :-). De plus, le traitement des photos est chronophage.
J'ai fait quelques recherches sur internet et j'ai découvert un logiciel dénommé DxO PureRAW. Ce logiciel permet de traiter vos images brutes (RAW) automatiquement en améliorant sa qualité. Le logiciel travaille sur le bruit, la netteté, le vignettage, la distorsion et les aberrations. J'étais clairement sceptique sur ce logiciel, mais cela fait quelques mois que je l'utilise et j'en suis pleinement satisfait, pourquoi ?
Ce logiciel est très simple à utiliser. Vous sélectionnez vos photos, le mode de traitement et il vous génère un fichier .DNG avec votre image retouchée.
Ce logiciel vous fait gagner un temps précieux dans le traitement de la photo et dans l'ensemble améliore grandement la qualité de vos images, surtout quand elles ont du bruit. J'ai trouvé pour le moment un seul défaut à ce logiciel. Il a du mal à traiter correctement les images sous-marines. Le logiciel a tendance à rendre les images avec une dominante de couleur bleue.
Je me suis créé un autre problème avec mes fichiers .DNG, chose que je n'avais pas prévue. Je suis utilisateur de darktable et ce logiciel gratuit, mais ce n'est pas le seul logiciel, impose des corrections automatiques sur vos fichiers raw. Résultat, mon fichier .DNG traité par le logiciel PureRAW se retrouve dégradé dans darktable, un comble. J'ai donc essayé avec Rawtherapee et Capture One, malheureusement même problème. D'ailleurs, c'est quelque chose que je ne comprends pas. Pourquoi les concepteurs imposent-ils des corrections automatiques ? Est-ce un problème purement technique ou idéologique ?
De ce fait, une connaissance m'a conseillé d'utiliser le logiciel DxO PhotoLab. Il m'a gentiment prêté son ordinateur avec le logiciel et en effet le fichier .DNG n'est pas dégradé. De plus, je me suis surpris à utiliser ce logiciel sans difficulté particulière et très rapidement. Clairement, ce logiciel est vraiment bien pensé ou il répond à ma logique.
Je suis maintenant embêté parce que j'aime utiliser darktable, mais il dégrade mon image .DNG et je suis tombé sous le charme du logiciel DxO PhotoLab qui ne dégrade pas mon image .DNG, mais qui coûte un bras.