13 juillet 2010

Les retraites, bis repetita

Une grosse claque derrière la tête nous arrive avec beaucoup d'élan. Fini la retraite à 60 ans, il n'y a plus d'argent et nous vivons plus longtemps, dixit nos dirigeants. Ouais... Pas convaincu par leurs arguments.

Pour le premier, il n'y a plus d'argent. Pourtant, il m'a semblé que le défunt M. Séguin avait proposé quelques pistes qui permettaient de récupérer plusieurs milliards d'euros par an en taxant les revenus qui passent aux travers des caisses de l'État.

Pour le second, nous vivons plus longtemps. En effet, les statistiques le démontrent, mais de quelle façon vieillissons-nous ?
Si c'est pour vivre jusqu'à 90 ans et profiter réellement de la retraite de 65 à 75 ans parce que tes conditions physiques t'empêchent de voyager, partager, jardiner, etc, aucun intérêt.

Je propose deux solutions à nos dirigeants :

1ʳᵉ --> Pas touche aux 60 ans
2ᵉ --> J'accepte de travailler jusqu'à 65 ans, mais on me donne quatre mois de congés payés par an.

Je pense que cette réforme des retraites est avant tout idéologique que pragmatique. Autre chose, avez-vous remarqué le comportement des personnes retraitées interrogées dans les médias ?

Autre point. Je sens venir la retraite par capitalisation. De ce fait, ayant quelques années de travail derrière moi, mais je ne suis pas le seul dans ce cas, il va falloir, avec nos salaires, payer les retraités, notre retraite et la capitalisation pour avoir une retraite inférieure à celle de nos ainés. J'appelle ça une double peine.

La génération sacrifiée

21 avril 2010

Piège nuptial

Dans la série des livres en rapport avec l'Australie, je vous conseille le polar "Piège Nuptial" de Douglas Kennedy.

L'histoire nous plonge dans le bush australien avec un américain embarqué dans une histoire de fou, mais tellement réaliste.

À plusieurs reprises, je me suis demandé si ce n'était pas une histoire vécue par l'auteur. Mais la fin du livre vous ramène à la raison !!!

Bonne lecture.

25 mars 2010

Sitges, Catalogne, Espagne. Mars 2010.

C'est décidé, direction la catalogne en mars pour une semaine. Mais où ? Sitges, puisque nous avions entendu dire que la ville est préservée de la folie immobilière espagnole.

En effet, la petite ville de Sitges est préservée ce qui lui donne du charme. Ruelles, voies piétonnes, quelques monuments, etc. Par contre, il est très difficile de circuler et surtout de stationner, même en mars ! Par chance, nous avions une location en centre-ville.

Autre point, nous avons remarqué de nombreux lieux dédiés aux homosexuels. En cherchant sur internet, Sitges est la ville espagnole préférée des homosexuels.

En plus de Sitges, nous avons visité Barcelone, le monastère de Montserrat et Tarragone. Il faut savoir que lorsque vous quittez Sitges, on vous guide toujours vers l'autoroute qui est payante. Il existe des routes secondaires, mais qui ne sont pas toujours faciles à trouver (vive le GPS!!).

BARCELONE

Je vais surprendre, mais je ne suis pas un fan de cette ville mis à part le marché de la boqueria, le quartier barri gotic et un cloitre trouvé par hasard. L'architecture est particulière.

MONTSERRAT

Le monastère est à visiter même si vous n'êtes pas religieux, rien que pour voir les infrastructures misent en place. De plus, le monastère offre une superbe vue sur les montagnes catalanes.

TARRAGONE

La vieille ville est intéressante à visiter, ruelles, vieux monuments... À voir.

Bon voyage...